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LOGES SÉPARÉES

Cela faisait des années que je n’avais pas lu de pièce de théâtre. Et c’est avec un grand plaisir que j’ai découvert ces 2 courtes pièces. Dans La femme perplexe, nous suivons ce long monologue décapant qui relate le cheminement de pensées de cette femme perdue. Entre amour, haine, rire et larmes, c’est une vraie plongée dans ses états d’âme. C’est à la fois touchant et vibrant. Une belle immersion dans la tête d’une femme qui doute, une belle mise en place qui doit être impressionnante sur scène. À sa suite, Loges séparées, est une pièce bien plus rythmée où la répartie des personnages est de grande qualité. J’ai aimé les caractères des personnages. Surtout ces deux comédiens vieillissants qui se haïssent de s’être trop aimés. Un ancien couple à la ville qui continue à la scène et qui s’écharpent dès qu’ils le peuvent. C’est vraiment fin et la petite intrigue policière qui s’imbrique dans cette histoire est très originale. J’ai apprécié cette lecture théâtrale. Babelio

SŒURS

Gérard Levoyer a lui-même mis en scène sa pièce et il le fait, comme il a écrit le texte : dans la justesse des mots, des déplacements, des émotions secrètes. C’est un double portrait, effectué avec sensibilité, dans la connaissance de ce que l’être humain montre en surface et cache en lui-même. Les deux actrices mènent bien ce jeu du paraître et de l’éclatement de l’image qu’on veut donner. Pascale Durand joue la présence plus intériorisée, une figure de femme dont les blessures restent derrière un rideau fragile mais fait de savoir-vivre et de discrétion. Frédérique Sayagh est en contraste une femme plus explosive, dont les mots partent volontiers comme des grenades. C’est un beau duo sororal pour une belle pièce fraternelle. Gilles Costa


Ceux qui proclament qu’il n’y a plus d’auteurs contemporains français devraient aller voir la pièce de Gérard Levoyer, (…) une œuvre intime, sensible, pleine de justesse et d’émotion. Jean-Luc Jeener – Le Figaroscope 30/04/14

UN ROI DANS MA DOUCHE

Dans cette pièce de théâtre de Gérard Levoyer, mise en scène par Marie-Pierre Gayou, avec Christophe Brassart (le bureaucrate) et Philippe Dejean (le roi), la comédie est à la fois truculente et grinçante. Au-delà, il s’agit d’une dénonciation de l’abus de pouvoir des plus forts, des dérives de l’autorité et de l’intolérance. Avec, en prime, l’idée qu’on ne doit pas toucher aux valeurs fondamentales telles que la propriété. Sud Ouest 05/02/14

« Un roi dans ma douche » a pour argument totalement irréel l’entrée, chez un modeste employé de bureau, d’un roi qui exige d’utiliser la salle de bain, qui s’y installe et reste là. Bien sûr, il s’agit d’une allégorie : la dénonciation de l’abus de pouvoir des plus forts, les dérives de l’autorité, l’intolérance. Dans le théâtre de Gérard Levoyer, l’auteur, le rire n’est jamais gratuit et la comédie devient vite à la fois truculente et grinçante. Sud-Ouest 09/02/14

12 FEMMES POUR UNE SCÈNE

Rusés, fins et captivants, les dialogues tantôt frivoles, tantôt graves, ont passé ainsi en revue toutes les émotions de la vie des femmes. Joie, éclats de rire, crêpages de chignons, larmes, grandes blessures et petites fiertés tricotent cette épopée féminine souvent plus profonde qu’il n’y pourrait paraître. L’écho Républicain

Des moments émouvants avec des monologues poignants de vérité. Les dernières nouvelles d’Alsace

L’ASCENSEUR

Gérard Levoyer est du petit nombre des jeunes auteurs sur lesquels on parierait un peu plus que sa chemise. Gilles Costaz

L’Ascenseur est comme une brusque déchirure vite refermée dans le tissu psychologique de deux hommes qui pourraient être n’importe qui. Un document et un épisode à suspense. A.F.P

L’Ascenseur est une excellente pièce, dense, serrée, qui tient le spectateur en haleine comme le ferait un bon polar. Les Nouvelles du Val-de-Marne

Ce n’est pas –Dieu merci – une fable. Mais une tranche de vie contée avec humour. Avec cruauté aussi. Et puis il y a un ton, un langage. Levoyer a son parler à lui. Théâtral. Lyrique. Judicieusement vulgaire à l’occasion. Bref : ça m’a l’air ORIGINAL et ça se suit avec intérêt, et ça ne vise pas à « refaire le monde » mais simplement à exploiter une bonne situation avec de jolies trouvailles théâtrales et – bien joué – ça doit pouvoir laisser percer l’émotion qui existe derrière l’humour. Donc : bravo ! Rémo Forlani

La pièce de Gérard Levoyer, L’Ascenseur, suscite une volupté joyeuse. On se sent voyeur et biologiste en train d’observer deux types humains pas plus névrosés que nous. Ils règlent des comptes. Mais de quelle façon ! grâce au talent de l’auteur, qui mêle avec éclat humour et cruauté, la pièce fait rire et serre la gorge. Le dialogue vif, agressif, direct, traverse le climat d’ambiguïté pour le charger de cette épaisseur humaine sans laquelle la pièce ne serait qu’un habile divertissement. C’est une réussite. Victor Haïm

BRINDEZINGUES

Dans cette histoire familiale à huis-clos, à l’humour grinçant et décapant, Gérard Levoyer dépeint les démêlés d’une famille normande suite à la mort de la mère et à son héritage. Une peinture sans concession de la bêtise humaine qui surprend dans son scénario final, ovationnée par un public enthousiaste. Marylin Bernet – Sud Ouest

J’ai découvert hier un sacré univers signé Levoyer. Une fresque noir et cynique de la France rurale, des dialogues tonitruants servis par des supers acteurs. Mention spéciale à Tidom. Courrez découvrir ce bijoux de pièce originale. Billet réduc

BURLINGUE

Avec des situations et des dialogues savoureux, parfois surprenants, le public n’a pas été déçu par cette révélation théâtrale qui nous met tous face aux aspects de la nature humaine. L’Observateur du Valenciennois

Mourir pour des idées peut être un geste héroïque, mais quand celui-ci est dicté par la plus grande bêtise, cela devient dérisoire et grotesque, absurde et hilarant. La Dordogne libre

Les dialogues, drôles et percutants, ouvrent les portes de leur intimité et font rire tout au long du spectacle. Le rythme rapide et soutenu nous emporte dans ce crescendo comique. Le tout, saupoudré d’un doux parfum féminin, diffuse une grande tendresse. Se déchirer pour mieux s’aimer. S’aimer pour mieux se déchirer ? Visiomag.com

COMPAGNONS

De rencontres en étapes, de conflits en retrouvailles, un siècle de revendications sociales se trouvent ainsi contées au travers de la vie quotidienne de ce petit peuple de travailleurs que la misère et l’oppression ont conduit jusqu’à la révolution de 1848… Sérieuse, parfois dramatique, l’errance de ces compagnons sur les routes de France est riche de rappels à notre mémoire. Elle constitue en même temps qu’une riche page d’Histoire un appel à la réflexion sur notre sort d’hommes et de femmes du XXI ème siècle. Sud Ouest

Cette pièce va au-delà du compagnonnage, elle transmet un message de tolérance, de partage des connaissances et incite tout un chacun à mettre en commun ses talents pour aider les autres dans une quête spirituelle plus que matérielle. Sud Ouest- Alain Boigeol

ELLE(s)

« Qu’ on ne s’ y trompe pas. Au delà de l’ humour parfois décapant et de la dérision, les mots savent faire passer l’ émotion, même dérangeante (…) Gérard Levoyer, sait parler d’ amour: ses textes ne sont jamais misérabilistes, mais poétiques et forts. ». Nantes Poche

UNE BIÈRE DANS LE PIANO

Ça fait penser à « Mon oncle d’Amérique » de Resnais mais c’est plus court et plus drôle. Libération

C’est une farce énorme, d’une logique absurde, implacable, féroce. L’Avant-Scène

Deux forcenés s’enferment, clouent des portes, s’invectives, tombent dans les bras l’un de l’autre et se massacrent l’instant suivant. Leurs apostrophes sont superbes, pleines de délires, d’images, de mots forts. L’Est Républicain

Les spectateurs ont eu de nombreuses occasions de rire car l’auteur manie l’humour avec un réel brio. Mais aussi de découvrir ou d’imaginer l’abîme d’absurdité dans lequel, par excès de zèle et d’intolérance, peuvent se plonger deux fonctionnaires peu enclins aux concessions. Le télégramme

Un univers s’écroule. Les acteurs en font autant sur scène, les spectateurs dans leurs fauteuils. Chapeau ! L’Est Républicain

MARIA ET LES AUTRES

Un texte bien ficelé, qui rend compte du passé « d’en France », échappe au didactisme et n’est pas dénué d’une interrogation primordiale sur le présent… Gérard Levoyer termine sa pièce par un autre petit bal, que nous pourrions qualifier de gagnant. Les maîtres mots de la conquête des droits féminins sont « ensemble » et « amour », sous les feux de ce petit bal où les couples des deux époques (les femmes du XVIIe ayant quant à elles réussi à entrevoir les avancées du  XXIe ) vont se fréquenter et danser. Ce petit bal change la donne. Il politise cette « histoire de filles », sur le ring devenu au final balcon d’amour, et fait de leur émancipation celle de l’homme et de la femme réunis, qui pourraient reprendre en chœur  la devise du théâtre du Globe «  Totus mundus agit histrionem », tant il est vrai que le théâtre de la vie respectueuse peut triompher de la barbarie. Unfauteuilpourlorchestre.com

Deux jeunes femmes du 21e siècle, vont remonter le temps et l’Histoire, rencontrer les figures marquantes de la lutte féminine, pour arriver à leur propre histoire, leur présent, et constater qu’il leur reste du travail à accomplir pour être acceptées, respectées, reconnues comme femmes à part entière. Un texte engagé, ponctué de chansons, au style truculent. Culturewok.com

LA PRINCESSE ET LE PLOMBIER

« Plein d’humour et de peps, cette pièce sur l’amour et la tolérance se savoure comme un joli conte de fées.(à partir de 4 ans) ». 20 minutes

Chanté, dansé, ce spectacle aux couleurs chatoyantes fait d’une pierre deux coups: il réussit à être ludique et pédagogique. Il souligne l’aspect vital de l’eau et s’attaque aux préjugés pour défendre la tolérance et l’ouverture d’esprit. Télérama

LES PLAISIRS DU VIN

Gérard Levoyer nous offre un texte savoureux qui titille tous les sens. Sa sensualité tinte aux oreilles, émoustille les papilles, électrise les peaux, mêle les plaisirs de la chair à ceux de la bonne chère… Quand le marmiton donne à la soubrette une leçon de dégustation, le vocabulaire du vin ressemble fort à celui de la séduction… Lestroiscoups.com

PERICOLOSO

Cela commence comme une comédie de l’américain Neil Simon, se prolonge à la façon d’un rêve surréaliste et s’achève par un baiser directement tiré d’une anthologie du cinéma des années quarante. Le temps de permettre à une ravissante jeune femme d’émoustiller son rugueux voisin de palier, ce qui n’est pas une entreprise aisée…Il y a de la poésie dans ce divertissement où l’amour joue avec le hasard au gré d’une porte qui n’arrête pas de s’ouvrir et de se fermer. Et puis, si ces mystères nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs. C’est de Cocteau. Un écrivain qui n’aurait pas été dépaysé ici. François Chalais – France-Soir

Dans le très joli théâtre du musée Grévin, une non moins jolie pièce, un peu déroutante dans la forme, mais pleine de cœur et de sensibilité. Ce pourrait être « La Voisine » et ça s’appelle « Danger, Amour ». Une jeune femme perturbe son voisin en violant son intimité et… Mais laissons le suspense ! Véronique Genest, la Nana de la télévision, lui prête son charme ravageur, son petit cheveu sur la langue et son adorable sensualité. En contrepoint, Jean-Pierre Kalfon, qui ressemble de plus en plus à Alain Cuny, joue les mystérieux, les mâles et les mal-léchés. Un bon duo d’acteurs. Jean-Luc Jeener – Figaro Magazine.

C’est un moment de bonheur, c’est exquis, joli, tendre. C’est la rencontre de deux êtres et ça suffit. C’est un duo d’amour, de tendresse avec un langage vraiment très, très, très joli. France Veber – France 2

C’est une comédie sarcastique à laquelle s’ajoute une dimension fantastique. En effet, souvenirs et fantasmes font partie du duel amoureux. Le texte est très moderne, parce qu’il révèle un langage d’images et de suggestions, des ressorts psychologiques et sentimentaux qu’on soupçonne sans que jamais ils ne soient montrés. Nicolas Brehal – Parispoche.